Dans le livre (« Parler le monde » de Nouchka Canivet et Sylvie Seprix, Ed. Belize), ils disent plutôt à quoi servait le langage.
Le latin servait à se comprendre avec les juges.
On ne parle plus le latin, c’est une voix morte.
par Zoé et Paul
mercredi 5 mai 2010Dans le livre (« Parler le monde » de Nouchka Canivet et Sylvie Seprix, Ed. Belize), ils disent plutôt à quoi servait le langage.
Le latin servait à se comprendre avec les juges.
On ne parle plus le latin, c’est une voix morte.
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